QUI SOMMES-NOUS ?
Qu'est-ce que l'association Le Tichodrome ?
L'association Le Tichodrome est une structure d’accueil pour les animaux sauvages blessés (oiseaux et mammifères). Ils sont alors soignés afin d’être relâchés dans leur milieu naturel.
Le Tichodrome est fédéré à l'Union Française des Centres de Sauvegarde (UFCS) et au Réseau des centres de soins faune sauvage. A l'initiative de Mireille Lattier, un groupe de naturalistes a fondé le Tichodrome dès 2005, afin de réaliser un nouveau centre de sauvegarde de la faune sauvage en Isère. Ainsi, les membres fondateurs du Tichodrome sont : Mireille Lattier, Catherine Giraud, Laurent Majorel, Laurent Puch, Cyril Borel, comptant sur le soutien de Rachel Julien.
Pour permettre un bon rétablissement à ces animaux, une centaine de centres de sauvegarde de la faune sauvage existent un peu partout en France. Ces centres possèdent des équipements particuliers (infirmerie, volières de rééducation…) pour soigner, et relâcher dans de bonnes conditions les animaux blessés, qui sont essentiellement des oiseaux (rapaces diurnes et nocturnes, passereaux, oiseaux d’eau).
Ces centres et leurs responsables ont des autorisations administratives particulières afin d’exercer cette activité, qui est très réglementée. En effet, la détention d’espèces protégées est interdite par la loi du 10 juillet 1976, sauf dans le cas d’un centre de revalidation. De plus, le métier de soigneur ne s’improvise pas ! Le personnel de ces centres est formé aux soins spécifiques aux espèces sauvages.
"Le Tichodrome est une association, mais c’est aussi le nom d’un magnifique oiseau rupestre, représenté sur le logo."
Notre mission
En plus de venir en aide aux animaux sauvages blessés en les soignant au centre, l'association Le Tichodrome a aussi pour vocation de prévenir et sensibiliser sur les principaux dangers pour ces animaux.
Quels sont les principaux dangers pour notre faune sauvage ?
L'association Le Tichodrome vient en aide à de nombreuses espèces sauvages présentes sur le territoire isérois. Entre 1800 et 2000 animaux et plus de 120 espèces différentes nous sont confiées chaque année. Nous constatons deux principaux fléaux pour ces animaux : les prédateurs domestiques et les infrastructures humaines.